Refaire un site, ce n’est pas céder à une envie esthétique. C’est un choix rationnel. Le mot-clé ne ment pas. La refonte d’un site internet pour une PME suisse devient indispensable quand l’outil en ligne ne remplit plus sa mission commerciale.
En Suisse, les PME représentent 99,7 % du tissu économique. Mais une grande partie de ces entreprises tourne encore avec des sites construits il y a plus de cinq ans. Et dans le web, cinq ans, c’est une ère géologique. Responsive mal géré, SEO obsolète, lenteur mobile, image dégradée… tout finit par se ressentir dans les chiffres.
Prenons un exemple concret. Une entreprise de menuiserie à Sion nous contacte. Le trafic chute. Les appels diminuent. Pourtant, le site est “toujours là”. En réalité, il est incompatible avec les standards actuels. Il ne charge pas correctement sur smartphone, les images sont mal compressées, la carte Google plante. En refaisant le site avec une vraie stratégie, une arborescence claire, un SEO local, le trafic a été multiplié par 3 en deux mois. Sans changer l’offre. Juste en changeant la vitrine.
Une refonte de site PME ne se résume pas à une nouvelle charte graphique. Elle inclut un travail de fond :
– Vérification des performances techniques
– Révision du parcours utilisateur
– Optimisation du contenu pour le référencement
– Intégration des outils actuels (réservation, paiement, formulaire, CRM)
– Sécurisation HTTPS, RGPD, accessibilité mobile
Ce n’est pas une question de goût, c’est une question de confiance. Un site désuet envoie un signal de négligence. Et un client suisse est souvent exigeant. Il compare. Il clique vite. Et il quitte sans prévenir.
Autre erreur fréquente : croire que le référencement acquis “il y a des années” est toujours actif. C’est faux. Google revalorise les sites régulièrement mis à jour. Et pénalise ceux qui ne bougent pas. La refonte devient donc un levier de visibilité, pas seulement un ravalement de façade.
Chez Alpgency, on ne pousse jamais à refaire un site par principe. On commence par un audit. Si les fondations sont bonnes, on optimise. Mais si le site repose sur des technologies obsolètes, mal référencées, ou impossibles à maintenir… alors oui, il faut reconstruire. Et le faire intelligemment. Sans perdre votre référencement, sans perdre vos habitudes, mais en gagnant en efficacité.
La plupart des PME suisses ne savent pas quand déclencher cette décision. Voici quelques signaux :
– Le site met plus de 3 secondes à charger
– Il n’est pas lisible sur mobile
– Il n’apparaît plus dans les premiers résultats Google
– Vous ne pouvez pas le modifier sans développeur
– Il n’a pas été mis à jour depuis plus d’un an
– Vos concurrents vous ont dépassé sur le web
Si vous cochez deux de ces critères, le moment est venu. Pas dans six mois. Pas “quand vous aurez le temps”. Maintenant.
Voici les réponses aux questions que l’on nous pose souvent.
Si vous ne trouvez pas ce que vous cherchez, n’hésitez pas à nous contacter — on est là pour vous.
Entre 4000 et 10 000 CHF en moyenne, selon la complexité, le nombre de pages, et les fonctionnalités (formulaires, e-commerce, multilingue, etc.).
Pas toujours. Si l’arborescence est bonne et la base saine, une refonte légère peut suffire. Sinon, il est plus rentable de reconstruire proprement.
Non, si la refonte est bien gérée. Chez Alpgency, on prépare des redirections 301, on conserve les URL importantes, et on optimise la migration SEO.
Entre 3 et 6 semaines pour un site vitrine classique. Jusqu’à 8 semaines pour un site e-commerce ou multilingue.
Oui. On peut prioriser la page d’accueil, puis les pages clés, et terminer par le reste. Cela permet de lisser l’investissement et d’avancer sans stress.
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